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Affichage des articles du avril, 2020

Dans les griffes de la momie (John Gilling, 1967)

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Encore une momie ? Hé oui ! Hammer Film continue la saga avec un troisième film, qui intervient après La Malédiction des pharaons de Terence Fisher (1959) et Les Maléfices de la momie (Michael Carreras, 1964), déjà moins inspiré. John Gilling, un des grands réalisateurs à avoir œuvré à la Hammer, est aux commandes.

Alien, le huitième passager (Ridley Scott, 1979)

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Analyse de séquence : Ouverture Juste après le logo de la Fox, un panoramique dans l’espace, puis une planète qui se dessine ; on entend un léger souffle, comme le bruit du vent. Les couleurs sont mordorées, émanant du reflet de la planète sus-citée, qui n’est pas identifiée ; sur ce premier plan du film Alien , apparaissent progressivement des symboles, qui viennent compléter un assemblage tout en symétrie.

Les Maléfices de la momie (Michael Carreras, 1964)

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Après Frankenstein , Dracula et le loup-garou , relectures des Universal Monsters, la Hammer Films continue sur sa lancée avec un cycle "momies" commençant par  La Malédiction des pharaons (The Mummy, 1959) réalisé par Terence Fisher, avec Christopher Lee et Peter Cushing, la Dream Team de la firme. Ce n'est que cinq ans plus tard qu'un nouvel opus est produit, scénarisé et réalisé par Michael Carreras.

La Momie sanglante (Seth Holt et Michael Carreras, 1971)

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Production Hammer tardive, La Momie sanglante ( Blood From the Mummy's Tomb ) avait certainement des atouts dans sa manche. Mais par un concours du destin particulièrement retors, rien ne se passa comme prévu.

Le Peuple des abîmes (Michael Carreras et Leslie Norman, 1968)

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Parfois, il existe des films dont l'idée même paraît très bonne : extravagante, exotique, bref, excitante. Puis le résultat n'est pas à la hauteur de l'attente, ou de son plein potentiel. Cet enchaînement correspond assez bien au film que Michael Carreras réalise pour la Hammer Film en 1968. Il a connu une genèse contrariée, et mérite que l'on s'y attarde aujourd'hui.