L'Homme qui trompait la mort (Terence Fisher, 1959)
Entrer dans un film Hammer, une fois que l'on en a vu un certain nombre, est comparable au fait de retourner dans un bar que l'on apprécie, dans lequel on retrouve les mêmes têtes, la même ambiance. C'est un vrai bonheur, surtout quand le tavernier s'appelle Terence Fisher. Après le coup d'éclat de Frankenstein s'est échappé ! en 1957 et du Cauchemar de Dracula l'année suivante, il reprend pour ce méconnu L'Homme qui trompait la mort , titre alternatif qui reprend fidèlement le titre original, The man who could cheat death ) son fameux Dracula, alias Christopher Lee, dans un rôle solaire mais secondaire, opposé à la nature du ténébreux comte.